Le titre ci haut est impropre, mes infatigables hackers ayant inversé les titres à l'occasion d'un énième hacking.Comme je ne m'y connais pas, je n'aurai pu réparer cela, me contentant de vous donner ci bas le titre approprié de cet article:
lundi 2 novembre 2009
Aziz, Kouchner, Guéant, Bourgi et diplomatie parallèle.
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A en croire l'hébdomadaire de BBY « Jeune Afrique » le président Mohamed Ould Abdel Aziz effectuant sa première visite officielle en France ce lundi même 26-10-2009 aurait privilégié de partager la convivialité de la frugale table du ministre de la coopération Mr A.Joyandet flanqué du « clone dupliqué de Foccart » le Franco-Sénégalo-Libanais Bourgi et de, cerise sur le gâteau, Mr Guéant SG de l'Elysée l'un des « sherpas » à tout faire attitrés du président Français à l'image de Guaino, cet autre du sérail et auteur du fameux très controversé discours de Dakar de Sarkozy.Le président Ould Abdel Aziz aurait fait ce choix, dit-on, quitte à renoncer à un sûrement autrement plus fastueux et somptueux dîner organisé par le Quai d'Orsay et déjà fermement prévu pourtant dans l'agenda du Ministre Français des AE Mr Bernard Kouchner, de longue date.
Si cette nouvelle venait à se confirmer, la couleuvre resterait longtemps encore en travers de la gorge de ce dernier et de son département le MAE.Autant dire tout de suite que son Ministère des Affaires Etrangères viendrait d'essuyer ce faisant un cinglant camouflet dans le « casse-pipe » en sourdine qui ne dirait toujours pas son nom l'opposant aux nouveaux hérauts de la diplomatie parallèle, hôtes de la table sur laquelle le chef de l'Etat Mauritanien aurait finalement jeté son dévolu.Vraiment mortifiant pour le MAE Français que tout ça! Le «changement de programme pas si anodin que ça» opéré par le président Ould Abdel Aziz risquerait bien de faire date dans les annales de la diplomatie Française et de ses nouveaux infléchissements. gravés à coups de fines retouches feutrées et indiscernables voire carrément à coups de pique souterrains des fois.
Pour sûr que les médias spécialisés ne seraient pas non plus en reste pour relever ce «nouveau tournant Elyséen» imprimé à la politique africaine de la France, la frugalité des « goûts gastronomiques (sic)» du président venu du Sahara désertique aidant !Normal, nous autres austères nomades n'avons que faire des dorures et lambris du Quai d'Orsay.Simple instinct grégaire de survie et pragmatisme atavique, la vie dans le désert vous en laisse de ces ficelles, sans plus.
Cela dit, et toujours à en croire la nouvelle de l'annulation par le président Ould Abdel Aziz de son dîner offert par le MAE Français rapportée par «Jeune Afrique», il semblerait bien que la « diplomatie parallèle » serait en passe de prendre de l'ascendant sur le MAE et la diplomatie classique Française dans le traitement des affaires africaines, pour le moins. «La guerre des officines» qui couvait jusqu'à présent semblerait désormais bien ouverte au grand jour quoiqu'à fleurets mouchetés encore.
Et compte tenu du tempérament pragmatique et peu porté sur le formel et le formalisme du président Sarkozy, il ne serait point surprenant que le camp de la «cellule diplomatique africaine de l'Elysée» ultimement réincarnée et ressuscitée et que tout le monde croyait enterrée avec J.Foccart l'emportât in fine en se faisant un nouveau karma diplomatique.Autrement dit le club des Guéant, Bourgi, Joyandet et les autres...Nous n'y sommes pour rien, nous autres Mauritaniens, après tout ce n'est pas notre tasse de thé et ne nous regarderait point, du reste.
Alors, au président Ould Abdel Aziz d'ensuite savoir tirer le maximum de «marrons du feu» de ces rivalités Franco-françaises.Ce qu'il semblerait avoir parfaitement bien compris en se décommandant sans ménagements excessifs auprès de ses hôtes du Ministère des AE Français qui n'auraient visiblement plus de véritable emprise sur les affaires africaines ou qui seraient sérieusement en perte de vitesse. à tout le moins.Il est bien connu qu'on ne prêterait qu'aux riches.Bien et habilement joué de la part du tout nouveau président Ould Abdel Aziz .En effet, iil faudrait savoir rester pragmatique en tout : l'efficacité d'abord, les formes ensuite.That's the way it is en ce monde désormais, y compris et surtout en diplomatie aussi!./.
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